Mikael - M

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Mikael - M 12147458588

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.•. Fiche descriptive .•.

Nom : Mickael
Âge : Inconnu
Sexe : M
Race : Croisé setter
RDV a prendre :
4 chez le veteninaire
2 chez l'educateur
2 chez le psycologue

Note : Mickael a été battu pendant duex années de sa vie par un dresseur de chiens puis , nayant aucune capacité fut donné a un homme qui penetrait dans la cage des leopards avec lui . Mais un jour tous les léopards se ruerent vers le chizen , qui en ressortit ne piteux etat .

.•. Points de compétences .•.

Agility : 0
Disque : 0
Dressage : 0
Endurance : 0
Course : 0

.•. Soins .•.

Propreté : 100%
Santé : 100%
Energie : 80%
Confiance : 100%

.•. Propriétaire .•.

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.•. Prix .•.

[Premier jour : 02.07.08]

Comme chaque matin depuis que je suis arrivée à Dog Compétition, je sors Billabong, Cream et Strange Lips lorsque le facteur vint m’arrêter, juste avant que je ne parte en balade. Il me tend une lettre à l’enveloppe marron, comme celles de la Fonction Publique. Je le remercie et continue d’avancer, lâchant mes chiens dans la campagne. Ce n’était rien d’autre que la S.P.A. Je pensa tout d’abord que c’était pour mon tout nouveau chien Cream, un petit Yorkshire que j’ai sauvé de la mort quelques jours au paravent. Mais pas du tout !! Le titre en rouge annonçait l’activité sauver des vies. Je me dis qu’il serait mieux que je le fasse, pour au moins sauver une vie. Et puis je ne serais pas la seule à me joindre à cette nouveauté. Certainement que Diane, Summer Flower et Angel le feraient aussi. Mais cela devrait certainement me coûter !! Je sors alors entièrement la lettre de son enveloppe que je glisse dans mon sac. Le chien serait gratuit mais tout les frais vétérinaire et autre seraient à ma charge. Je réfléchis et sais qu’il y aura certainement assez d’argent sur mon compte !! Je laisse mes chiens à la maison et me conduit là-bas dans mon grand véhicule. Je montre la lettre au « gardien » qui me montre les chiens de cette activité. Je tombe amoureuse immédiatement d’un petit chien marron tout triste. Mikael. Je demande poliment ses papiers et lit. Waouh, il aura besoin de beaucoup de soins !! Mais bon je le ferais. Il lui faudra quatre visites chez le vétérinaire, deux chez le psychologue et deux autres chez l’éducateur. Son histoire n’était pas non plus des meilleures. JE rends les papiers et affirme que je veux celui-ci. On ouvre la porte. Moi je me glisse doucement dedans, sans gestes brusques, pour ne pas l’effrayer. Bien sûr, apeuré, le chien s’enfuit au fond. Je ne l’embête pas plus et ressors. La grande caisse pourra entrer dans mon véhicule, je demande à la faire mettre dans le coffre. Je ne règle rien et revint chez moi. J’enferme mes trois autres chiens dans mon jardin afin qu’ils ne viennent pas perturber plus encore Mikael. Moi j’ouvre la cage et le laisse, ne bouge pas, mais installe de la nourriture et de l’eau à l’extérieur. Au bout d’une heure et demie à peut près, le chien sort et mange. Tout doucement, en me faisant voir, je glisse mes mains sur son pelage. Il hérisse le poil mais continue à manger. Après qu’il eut terminé, il rentre dans sa cage et me regarde. Je rentre et tente de le caresser. Il a peur mais il ne bouge pas. Je le caresse et lui parle doucement, jusqu’à pouvoir le prendre dans mes bras. Je ressors alors de la cage avec lui et le laisse aller. Pendant qu’il ne voit rien, je mets la cage dans le cagibi. Il ne la voit plus alors il panique un peu. Mais au bout d’un moment il se dirige vers un panier vert pomme. Il s’y couche et s’endort. Lorsqu’il se réveille, je le montre aux trois autres chiens… Billabong grogne pour protéger Strange Lips qui à l’air effrayé et Cream Aboie. Mikael et paniqué et retourne dans son panier illico presto. Je gronde les trois et vais caresser le petit toutou marron. Demain certainement que nous irons faire une ballade. Mais là, j’appelle Summer Flower pour un des rendez-vous de Mikael. Je lui demande de venir car le chien ne sera certainement pas en mesure de supporter le voyage. Je serais prête à en payer le prix nécessaire. Bref, je l’attends, tout en essayant d’habituer Mikael aux bruits de la maison.

[Visites chez l'éducateur faîtes, cela lui fais + 12 de confiance =)]

15% de confiance , 10 de santé , 10% de propreté

[Deuxième jour : 03.07.08]

Ce jour-là, je me levais tôt. Tout d’abord j’allai donner à manger à Strange Lips, Cream et Billabong qui ont dormis ce jour là dans l’abri bien fermé dehors. Je leur donnais un coup de brosse rapide et mis les brosses dans ma trousse que j’allai déposer dans le cagibi. Puis, je m’empressa d’aller voir Mikael, pour ce second jour avec lui. Ses séances chez l’éducateur étaient passées et je voulu voir si cela lui avait apporté quelque chose. Je m’en approchai franchement et le caressa. Il appréhendait au début mais ce calma rapidement. Je lui donnai alors à boire et à manger, abondamment pour qu’il grossisse. Lorsqu’il eut mangé je le brossa longuement puis lui montra Billabong, la plus calme de ses chiens. La chienne alla renifler le petit croisé qui se coucha, les oreilles plates, et se mit sur le dos, il se soumettait. La chienne s’en ficha et prit le ballon qui lui tendait sa maîtresse. Mikael se releva et tenta alors de prendre la balle. Billabong se mit à courir, et le petit chien marron, la queue désormais en l’air, bien qu’hésitante, la coursait. Rapidement ; le chiot se sentit à l’aise et sauta sur Billabong, lui retirant son ballon et revenant vers moi à toute allure pour me donner le jouet. Je lui relançai. Il fonça et lui ramena. Je le félicitai et le ramenait à l’intérieur, puis lâcha avec lui Billabong, vu qu’à première entente, ils s’entendaient assez bien. J’allai chercher Cream. Cream le voyant lui aboya dessus et se mit au dessus de lui, il le dominait. Mais Billabong ne l’entendant pas de cette oreille prit la défense de Mikael. Bref, Cream n’était pas encore prêt à jouer avec le croisé. Avec Strange Lips non plus d’ailleurs. Ils ne s’entendaient pas du tout. Je tentais alors de dresser un peu mon nouvel ami. Je le fis assoire et lui appris ce tour. Lorsqu’il y arriva je le félicitais. Il se faisais déjà tard, alors je fit les rations et les donna à chaque chiens, tout en récompensant Mikael et Billabong.

[Troisième jour partie 1 : 04.07.08]

Ce matin, je me réveillais assez tard. Panne d’oreiller comme on dit. Il était huit heures du matin !! Je me précipites et, sans lumière, manque de trébucher sur deux choses pleines de poils venues m’accueillir au saut du lit. J’allume tant bien que mal et vois Mikael accompagné de Billabong. Je les caresse tout deux et les fait monter pour la première fois sur mon lit. Je m’habille rapidement d’un jean troué et d’un débardeur noir et enfile mon Converses vert kaki. Je câline brièvement mes deux compagnons adorables qui n’ont pas bougé. Je les fais ensuite descendre et prépare la ration de chacun des quatre. Je nourris d’abord Cream et Strange Lips et les abreuve, vu qu’ils sont dehors, je les brosse aussitôt partiellement. Puis je nourris Billabong et l’abreuve. De même pour Mikael mais je lui donne un peu plus. Lorsque tous deux eurent terminés leurs rations, je leur donnai une friandise à la viande. Je brosse entièrement Mikael bien qu’il soit presque démêlé. Par contre Billabong elle, a bien besoin de se faire décrasser. Ce que je fais sans attendre une seconde. Lorsque chacun fut d’un poil soyeux, j’appris à Mikael l’ordre couché, tout en reprenant des fois l’ordre Assis afin qu’il ne pense pas qu’il faut l’oublier. Lorsqu’il y arriva sans rechigner, je consultai ma montre. Déjà une bonne grosse demie heure que j’essayais de lui apprendre !! Ebahie, je le félicitai tout de même et le laissa jouer avec Billabong un moment, pour le rendre le plus sociable possible. J’appelai alors les deux nouveaux amis et prit sur moi Mikael, pour inspecter l’étendue des dégâts causés par le fait que l’on l’ai battu et qu’il se soit fait attaquer par des fauves aussi terribles. Une suintait. Je pris ma trousse et la désinfecta. Il cria. Je le caressai et posa Billabong à mes côtés, qu’elle lui tienne un peu compagnie et qu’il pense moins à sa plaie. Il bougea et cria sauvagement, tant qu’il en tomba par terre. Je le rattrapai de justesse avant qu’il ne se crache sur le sol en carrelage. Je le caresse et le tient fermement avant de lui finir la désinfection de la plaie. Il couine mais je n’ai pas terminé. Je pose ma bouteille et prends une compresse stérile, et frotte doucement. Après avoir fini ceci, je le laissai se reposer quelques minutes, le temps de préparer un bain d’eau chaude. Je le plaçai dedans lorsque Billabong m’éclaboussa en sautant dans l’eau. Je rit aux éclats et la y laissa. Je plongeai donc Mikael dans l’eau, du moins ce qu’il en restait, et le savonna un peu. Puis, je le sortit sur une serviette de bain et le laissa se sécher un peu lui-même. Pendant ce temps je lavai Billabong, qui avait l’air vraiment de vouloir prendre un bain. Je la nettoya rapidement bien qu’elle n’en avait point besoin puis la fit sortir. Elle se secoua et s’assit. Pendant ce temps je séchais Mikael avec la serviette blanche puis avec le sèche-cheveux spécial chien. Son pelage gonfla. Je le brossai alors puis tentai de le mettre en place, pour qu’il soit beau et soyeux. Il fallait dire que le shampoing que j’avais acheté n’était pas du bas de gamme style Leader Price. Bref, je séchais Billabong à son tour et emmena promener mes deux chiens jusqu’à midi et demi environ. Après je les rentrai et les nourris. J’en profitai pour sortir Strange Lips et Cream, enfermés depuis le matin dans l’enclos. Heureux de se dégourdir, ils ne prêtèrent pas attention à Mikael et le laissa jouer avec eux. Je fus assez agréablement surprise de voir cela.

1e Visite chez le psy effectuée; cela fait + 2% de confiance =)

[Troisième jour partie 2 : 04.07.08]

Lorsque les chiens eurent terminé leur folle course. Je les rentrai à quatre dans la maison et me mit à manger. Ben quoi ? J’ai plus le droit de manger moi maintenant ? Bande d’affreux jojos !! Bref, je ne vous détaille pas que j’ai mangé de la salade et un yaourt aux cerises. Oups, bon maintenant que c’est fait c’est fait, tant pis. Après je me mis à mettre un collier à chaque chien puis de leur attacher la quadruple laisse de ma mère. Je les emmenai donc dans la forêt. A gauche était placé Mikael, à sa droite Billabong, à la droite de Billabong Strange Lips et à droite encore Cream. Chacun tirait d’un côté. Je me mis à hurler, ce qui fit résonner toute la forêt ombragée par les chênes et tous ces styles d’arbres à gros diamètre de tronc. Bref les chiens stupéfaits de ce bruit se calmèrent illico presto, bien que Mikael ait eut bien peur. Je le caressai donc brièvement et me remit en route. Ils étaient tous en train de marcher, les pattes hautes, sauf Mikael, enfin qu’il commençait à prendre le pas. On aurait dit un carrousel équestre. Sans plus attendre je montai tout en haut. En réalité c’était cette petite forêt qui menait à la montagne, un raccourci. Je pensai tout de suite à Roxy. Qu’était-elle devenue avec sa nouvelle éleveuse Pêche-M ? Car je ne l’avais plus jamais revue. A vrai dire je ne l’avais vu qu’une fois, pour la vente de Roxy au marché noir. A cette petite épagneul, pleine de vie et débordante d’énergie… Lorsque les remords refirent surface, je l’effaçais bien vite de ma tête pour m’apercevoir que nous étions déjà au sommet. A deux heures de l’après-midi. Les chiens s’assirent sur le point culminant, et moi je fis de même. Je regardais le loin, l’horizon, la liberté. Mes chiens aussi le faisaient. Et s’ils ne voulaient plus de moi ? Et s’ils ne voulaient que la liberté ? J’espérais que ce n’était pas le cas, car moi je les aime et je ne les laisserais point partir de si tôt. Visant le ciel, je consultai une nouvelle fois ma montre. Trois heures. Bien, nous devrions rentrer pensai-je. Regardant mes chiens, ils se levèrent, certainement qu’ils avaient compris ? C’est bien normal, mes chiens sont les meilleurs, ils sont absolument parfais. Enfin, à mes yeux. Je pris le plus long des chemins, le moins pentu, car cela n’est point évident de descendre une pente de minimum soixante pour cent. Sans attendre, je me mis à courir et lâcha tout le monde, même Mikael, sur le sentier. Tous en train de me suivre [Oui je sais ils sont pas en train mais sur leurs pattes] D’habitude j’aurais hésité à l’idée de les lâcher. Mais là, je me dis que… Quand j’étais en haut de la montagne, je me suis dis que mes chiens auraient plus besoin de liberté. Et là je leur avait offert cette liberté. Je regardai derrière moi, ils suivaient tous, pelage au vent, heureux de courir. Lorsque nous arrivâmes à la maison, j’étais autant fatiguée qu’eux. Alors je bus autant que mon estomac me le permettait, puis courut mettre de l’eau dans les quatre grandes gamelles. Mikael eut terminé le premier son eau entièrement, je lui en remis et il la siffla en une traite. Les autres chiens ne finirent pas leurs gamelles, alors, sans se gêner, le petit chien marron alla les terminer. Puis il s’ébroua, avant que tous aillent se coucher dans leur panier, que chacun reconnaissait, devant la télé. Je m’assis sur le canapé et zappa jusqu’à trouver Trente Millions d’Amis, sur France Trois. J’arrêtai mon zapping là et regarda.

[Quatrième jour : 05.07.08]

Ce jour là, j’étais de bonne humeur. Ben quoi ? Ca m’arrive oui aussi parfois… Mais c’est rare. Je me levai et trouva la porte grattée, déchiquetée. Je faillis hurler. Mais je vis mes quatre chiens ensemble, assis, en train d’attendre à la porte que je ne me lève. Je souris alors mais leur désigna la porte et dit fermement non en donnant une tape sur une patte de chacune des bestioles. Je descendit puis, toujours en chemise de nuit, nourrit mes chiens, chacun leur ration, comme à l’habitude, puis de l’eau. Je brossai alors Billabong, puis vis une tique. Je pris alors la mini brosse pour arracher les bestioles nuisibles puis l’épouilla. Elle n’en n’avait pas d’autre. Je brossai son fils, que j’avais mis en vente pour m’occuper des trois autres mieux, vu qu’il était expérimenté et me rapporterai. Et puis, il ne m’aimait pas trop à première vue. Je brossai ensuite Cream rapidement, vu la petite masse de poils qu’il avait sur le corps. Ensuite je me mis à brosser Mikael, et m’aperçut qu’il était bourré de puces. Je levai la tête et vit la porte de la sortie, grattée et mordue, bien sûr ouverte. Enervée j’arrachai sèchement les puces de son corps et les tua. J’inspectai les lieux, voir si aucuns vols n’auraient pus être commis. A voir, il n’y avait rien. Je savais que j’habitais dans un endroit assez reculé, où presque personne sauf la patrouille de police ne passait quotidiennement. J’appris aujourd’hui à mon nouveau petit protégé l’ordre « Au pied ». Ce ne serait point une mince affaire. Mettant mon chien au pied, je lui donnai fermement l’ordre. J’avançai et continuellement donnait l’ordre à Mikael. Il ne comprit point au début. Sachant que Billabong connaissait ce tour, je lui montrai immédiatement avec le berger Australien Sheperd. Sans attendre il leva les oreilles et suivit son amie. Je dit continuellement au pied, puis félicita les deux. Je fis asseoir ma chienne et continua avec le croisé. Il suivit sans vraiment comprendre. Pendant à peu près une heure et demie, à compter qu’il était neuf heures trente, je continuais de lui ordonner « Au pied ». Au bout d’un moment il comprit et me suivit. Lorsque je le laissais aller il allait n’importe où, mais quand je le rappelais à l’ordre il revenait tout de suite à mon pied gauche. Je le félicitai alors comme il se devait et lui donna une voire deux friandises. Puis, je sortis en promenade les quatre. Au lac cette fois. Pendant une petite heure, je les baladais puis les détachais, faisant toujours attention qu’ils ne sautent point dans la rivière. Il ne s’y passa aucun accident. Lorsqu’il fallut rentrer, je les rattachais et me dit que cet après-midi, je sortirais Billabong et Mikael en ville, qu’il s’habitue au gens, aux bruits fort, et que Billabong lui donne l’exemple à suivre. Il était alors midi et demi quand nous franchissions le seuil de la porte en bois. Je préparais les gamelles d’eau et les rations puis vers une heure de l’après-midi, les servis. Chacun connaissait sa gamelle. Moi je me mis à table, pas loin d’eux pour les surveiller de très, très très près. Sans bruits je me levais puis alluma la télévision du salon, regardant les informations. Rien de bien spécial aujourd’hui. Je regardais la météo et vit que demain serait une journée fraîche. L’idéal pensais-je, l’idéal…

60% de confiance , 40 de santé , 40% de propreté

[Quatrième jour : 05.07.08]

Après avoir déjeuné, je me mis à tout préparer pour Billabong et Mikael. Enfilant un collier rouge à Mikael et un vert à Billabong, je les laissai du verbe mettre une laisse. Sans attendre j’enferma mes deux autres chiens dans le petit bâtiment de bois et prépara une gourde d’eau spéciale pour les deux amis. Puis pris la mini trousse de premiers secours au cas où un des deux se blesseraient. Il faillait penser à tout, au meilleur comme au pire des pires. Imaginons qu’un d’eux se sauve et s’ouvre avec du verre ou se coince dans les ronces… Vu le caractère de mes animaux de compagnie… Tout pouvait arriver. Bref, je sortis et fermais à clef la porte principale lorsque j’en franchis le seuil. Les chiens heureux se mirent à aboyer. Je tirais sèchement d’un petit coup sur les laisses et dit fermement non. Ils se calmèrent et je les menais en ville. Elle était à peu près à deux kilomètres et demi. J’espérais que mes deux compagnons tiendraient six voire sept kilomètres. Ils n’en n’avaient déjà pas beaucoup dans les pattes… Bref, je croisais les doigts. Arrivés là-bas, je remarquais déjà la très mauvaise réaction du petit croisé qui mit la queue entre les pattes et se courba en avançant à petits pas lents, plaquant ses oreilles contre sa nuque. Mais je fus heureuse de n’avoir rien eut à faire lorsque j’ai vu Billabong lui mettre un coup de museau et lui lécher le dessus de la truffe. Peu à peu il prit goût à la balade et releva sa queue et ses oreilles, se redressa progressivement et renifla tous les recoins de la ville. Mais lorsque j’arrivais dans la grande rue, plusieurs personnes s’en approchèrent. Il devint agressif et planque queue et oreilles. Je le calmais et le prit dans mes bras, demandant à toute personne s’approchant de reculer. S’ils s’énervaient, je leur expliquais brièvement et sèchement. Ils comprenaient bien et étaient en général assez confus. Mais jamais je ne retenais la tension que je donnais à chaque passant. Lorsque nous reculâmes dans une ruelle ombragée, beaucoup moins fréquentée, je mis mon chien à terre et le caressais, le félicitant tout de même. Sans le vouloir je tombais et écrasais la patte de Billabong. La chienne couinant faiblement du choc fit réagir Mikael qui me grogna dessus. Je caressais alors les deux et me dit que jamais je ne devrais vendre l’un des deux. L’autre ne me le pardonnerait pas et ils seraient tous deux très malheureux à mon avis. Je sortis de l’autre côté de la ville et abreuva mes chiens. Je consultais en attendant ma montre. Cinq heures de l’après-midi. Je me pressais alors de tout ranger et commença à redescendre vers la maison en passant par la plaine, contournant la ville. Cela était un raccourci assez peu visible et qui pouvait sembler plus long. Ayant déjà fais l’expérience, je me mis en route et lâcha mes deux chiens, me mettant alors à courir. Je vis les deux me suivre avec entrain. Je continuais jusqu’à la route qui coupait la plaine, enfin, l’arrêtait. Les bestioles étaient hors d’haleine. Je stoppai un peu, quelques minutes. Puis je traversai la route, ayant rattaché Billabong et Mikael afin qu’il n’arrive aucuns incidents. La maison n’était plus qu’à une centaine de mètres de là. Je pris un pas énergique. Lorsque nous fîmes rentrés, il était cinq heures et demie. Un sacré raccourci !! Je sortis les deux autres et les laissaient, eau à disposition, s’amuser dans la maison ensemble.

[Les 4 visites chez le véto ont été effectuées = 9 % de santé et 11 % de confiance]

[Cinquième jour Partie 1 : 06.07.08]

Le cinquième jour !! Déjà !! Mais bon pensais-je, je crois bien que je pourrais garder ce petit animal avec moi. De toute façon je l’achèterais s’il le faut. Je ne vais pas le laisser seul et le rendre lui et Billabong tristes. Car quand même ils avaient l’air de bien s’entendre !! Je priais donc dans mon lit totalement en bordel vu la chaleur de la nuit qu’aujourd’hui, demain et après demain se passe très bien et que Mikael restera à ma charge. Il s’était tant amélioré !! On aurait dit qu’il avait oublié son passé, qu’il s’était fait une nouvelle vie. Qu’un nouveau Mikael était né. Comme les phénix lorsqu’ils meurent : de leurs cendres se reforment un autre phénix. Le miracle de la vie aurait dit certaines personnes de ma connaissance. Je me levais donc voyant, la porte ouverte. Je paniquais et me dit que j’étais folle. Hier je l’avais laissée ouverte pour la chaleur. Alors qu’avaient fait mes chiens ? Ils étaient au pied de mon lit. Ils s’étaient aperçus que j’avais bougé et avaient tous les quatre sauté sur le lit. J’ai faillis basculer mais j’éclatais de rire. Il me sautèrent dessus et me léchèrent autant qu’ils purent. Ah je n’aurais pas besoin de me laver aujourd’hui ironisais-je. Je m’assis dans mon lit et caressa vivement Mikaelou, Billabonguinette, Creamichou et Strange Lipsou. XD Mais quels surnoms leur avais-je donné !! Bref, je sortis de mon lit, rabattant sèchement les draps sur le matelas. Les chiens furent emprisonnés dessous et jappèrent. Je ris et enleva les couvertures. Je remarquais l’assez mauvaise réaction de Mikael. Je fis descendre les autres et caressa le croisé setter puis le déposa à terre. Je préparais les rations et les gamelles d’eau puis courus dans la salle de bains, pris une douche puis m’habilla d’une longue jupe bleutée à reflet indigo. Mon haut était bleu turquoise, c’était un dos nu. A paillettes je précise. J’enfilais mes chaussures à hauts talons, à attacher avec des lanières de tissus fins. Je brossais méchamment mes cheveux et y installa une fausse rose qui faisait pince pour attacher mon chignon. Une mèche de mes cheveux bouclés avait échappé à la pince. Je descendis et mangeais rapidement et laissa mes chiens de la laisse quadruple. Je retournais en ville aujourd’hui. La journée était belle et promettait. J’étais contente. Arrivés là-bas, je donnais un peu d’eau à mes chiens puis fit une visite chez un ami qui habitait par ici. Je montais et m’excusai pour mes chiens. Il me dit qu’ils pouvaient aller dans le gigantesque balcon protégé de son appartement. Le remerciant je lâcha mes chiens dedans et mis une barrière, je voulais pouvoir les surveiller. Je leur servis de l’eau car j’avais pris mon grand sac rouge de sorties avec deux grandes gamelles de secours. La bouteille d’eau était aussi dans mon sac. Je posais ma veste assortie sur le porte manteau et entreposa mon sac sur le crocher du dessous. Mon ami m’avait invité à manger. Je me dis que je pourrais peut-être habituer Mikael à une présence. Bref, il était midi et demi. Je lui poserais la question plus tard. Une demi-heure plus tard nous étions à table. J’avais aussi nourris un peu mes chiens dans une plus grande gamelle. Mon ami me trouvait un peu folle de faire tout cela. Lorsque je lui racontait l’histoire de Mikael, il comprit et se tut. Je le remerciai de m’avoir comprise et nous nous mirent à manger. Je me mis ensuite à défaire la table pour l’aider. Ensuite j’allais au balcon et caressai mes chiens. J’enlevais en même temps la grande gamelle de nourriture.

[2è visite chez le psy effetcuée : +5 % de confiance =)]

[ + 50% de confiance, de santé et de moral = Ichi =)

[Cinquième jour Partie 2 : 06.07.08]

Mon ami m’avait invitée jusqu’à la soirée. Mais quand même nous n’allions point rester là toute l’après midi sans rien faire !! Tout de même timide, je me lançai alors. Je lui demandais s’il acceptait de laisser Mikael dans la maison pour qu’il s’habitue à une présence inconnue. Il me révéla qu’il était comportementaliste pour chiens. Mon visage s’illumina soudainement et je le suppliai de se pencher sur le cas de mon setter. Il répondit favorablement à ma demande. Le chien avait peur des gestes brusques, et des humains principalement. Il me dit que si j’avais déjà été voir un autre Psychologue cela ne servait à rien qu’il ne m’aide. Déçue je décidai d’écourter mon séjour et repris mes chiens, renfila ma veste et pris mon sac, ne lâchant qu’un au revoir peu sincère et plutôt hypocrite. Je claquais la porte et descendis d’une façon légère, plutôt impressionnante vu la hauteur de mes talons. Sortie je jetais un œil à la fenêtre de mon « ami » et à ma montre. Deux heures et demie seulement. Mon petit protégé avait aussi peur des grands espaces. Je l’emmenais dans la prairie cachée par la forêt derrière ma maison. Sans faire mine d’aller à la maison, je passai à côté et ne la regardai pas. Les chiens n’y firent donc aucunes allusions et je lâchai les chiens à un endroit bien protégé. Ils se défoulèrent et avoir, Mikael ne faisait que se méfier lorsqu’il été lâché et n’eut pas réellement peur après l’inspection rapide des lieux. Ils trouvèrent un bâton et se le disputèrent. Moi je m’assis dans l’herbe haute et les regardait. A quatre heures je les rappelai et à mon plus grand bonheur ils m’obéirent. Je souris et les laissai en liberté pour rentrer à la maison qui n’était plus qu’à une petite centaine de mètres. Je rentrais et m’assis sur le canapé.

[Sixième jour Partie 1 : 07.07.08]

Aujourd’hui j’étais encore de bonne humeur !! Je me demandais comment cela pouvait arriver… Je me levais et vit que les chiens avaient dormis toute la nuit sur le tapis de ma chambre. Au saut du lit j’enfilais mes chaussons et alla préparer comme chaque matin les grandes gamelles d’eau et les rations propres à chacun des chiens. Je leur servis et alla me prendre une douche, cheveux y compris. En quinze minutes j’avais déjà tous terminé, il ne me restait plus qu’à me mettre quelque chose sur le dos. Comme j’avais prévu d’aller dans le grand terrain pour initier Mikael à l’agility tout en douceur, j’enfilai mes vêtements de sport blanc et mes baskets neuves. Je me dis qu’elles ne le resteraient certainement pas longtemps !! Sans attendre je me mis à déjeuner puis sortis mes chiens afin de les mener vers le terrain escarpé. Des caillasses, des morceaux de bois qui formaient des obstacles ou des plateformes exigus. Il y avait une pile de caillasses qui faisait comme un tunnel. Je demandais à Mikael de passer dessous. Sa phobie revint et il ne voulut pas. J’appelais à la rescousse Cream qui passa dedans sans craintes mais surtout avec un entrain du tonnerre. Plusieurs fois je répétai l’action car rien ne se fait en deux minutes. Au bout d’une heure il comprit et passa certes lentement, mais il passa. Sans convictions, il me regarda, fixement. Je le poussai alors à recommencer. Craintif il passa la queue entres les pattes et les oreilles plaquées sur sa nuque. Je le rassurais de la voix et il avança toujours avec crainte. Je m’assis et commença à manger, donnant de l’eau et des friandises en même temps à mes chiens. Billabong et Strange Lips, ainsi que Cream eux avaient beaucoup joué à sauter.

[Sixième jour Partie 2 : 07.07.08]

L'après midi, je me remis à faire travailler Mikael sur l'obstacle. Je lui refis passer le tunnel improvisé. Je réfléchis et décidai de lui faire passer une plate forme pentue et difficile au niveau de stabilité. Je lui mis un harnais que j'avais au cas où il tombe et se fasse mal. Le but n'était pas de le traumatiser une fois de plus. Il avança, regardant si l'endroit où il posait sa patte était stable, sûr. Il finit par les caillasses blanches. Il descendit et glissa, je le rattrapai donc de justesse avec la laisse du harnais. Il eut lui même peur et refusait de s'y aventurer. Alors je fit passer les trois autres avant lui. BIllabong la première, suivie de Cream et enfin de Strange Lips. Il s'enfonça alors sur le terrain escarpé avec eux. Les trois premiers canidés passèrent avec brio tandis que le pauvre setter tremblait. Je le caressai et monta sur le terrain. J'avançai, lui montrant que l'endroit était sûr et qu'il pouvait me suivre. Au bout de quelques instants il me suivit avec tremblotements. Mais il y arriva. Descendu, je le félicitai de caresses et d'une friandise. J'en profitai pour aussi féliciter mes autres chiens. Heureux Mikael recommença avec peines mais surtout avec un entrain du tonnerre. Je l'y invita et le prit dans mes bras à l'arrivée. Je décidai vu l'heure avancée de l'après midi de rentrer à la maison. Sans les attacher je les appelai et ils me suivirent, nous rentrâmes donc à la maison.

Je me suis ajouté les points sans triche, de toute façons vu les rps je les aurai eu.

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