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12 / 05 / 2008 > Endurance
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Avant même d'aller retrouver Comery, je savais pafaitement que le problème allait se présenter à moi. Ayant quelques menus problème respiratoire, le marathon n'était pas mon point fort. Eh bien, me direz-vous, c'est le moment ou jamais de vous entraîner : avec votre chien. D'accord, mais je serais à terre après le troisième kilomètre, et je n'avais aucune idée de l'endurance de Comery.
Dans le doute le plus profond, je décidai finalement d'y aller à vélo et de commencer à pied, puis j'aviserais sur place. Lorsque je passai devant les niches, la plupart des chiens dormaient, vu l'heure matinale. J(avais en effet préféré venir tôt afin de ne pas faire un malaise à cause de la chaleur. Comery et moi commencions à nous connaître, et la chienne, en me voyant arriver, aboya une ou deux fois, puis m'observa comme le jour précédant. Elle comprendrait au fil des jours que je suis sa nouvelle maîtresse, c'est un fait. Je commencais par la caresser et jouer un peu avec elle, histoire de renforcer encore les liens qui nous unissaient. ils étaient encore fragiles, et au moindre faux pas, ils casseraint. D'autant que Comery n'était pas très fut - fut. finalement, j'attachais la laisse cuir noir au collier noir et une fois sorties de Dog Competition, je prit mon courage à deux mains et me mis à courir, la chienne à mes côtés.
Une demi-heure plus tard, Comery toujours en train de trottiner sagement à côté du vélo, nous rentrâmes à Dog Competition. Comme je l'avais prévu, j'avais été très vite KO, contraîrement à Comery. J'étais donc retournée à Dog Competition et avait enfourché mon vélo. la laisse était assez longue pour que la chienne soit à une distance acceptable du vélo. Nous avions fait un petit crochet par la forêt, et Comery était restée sagement à mes côtés pendant tout l'exercice. J'avais commencer par l'emmener sur des chemins balisésn puis, laissant mon vélo, j'avais couru un peu dans des plus petit chemin. puis, j'avais reprit mon vélo et nous avions continué; Une rivière s'était présentée sur notre chemin, et sans héiter, j'ai foncé dedans. En rentrant, je décidais qu'un petit shampoing ne lui ferait pas de mal. Elle avait les jambes et le ventre pleins de terre.
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