[ Plage ]
Mardi 24 juin - 11 h 00
La chaleur commencait à augmenter et le soleil, petit à petit, à se faire plus écrasant. J'avais mis un débradeur, deux tonnes de crème solaire et une casquette. Raaah, mais pourquoi, juste parce que j'avais une peau de blonde, je ne bronzais pas ? Pourquoi j'avais directement des coups de soleil ? je reportais mon attention sur le monde extérieur. Je verrouillais la voiture, puis me dirgeais vers les "cages". c'était à l'intérieur, avec une porte et une cage donnant surl'extérieur. Quel luxe ! Pour la première fois de ma vie, j'eu envie d'être un chien. J'allais bientôt voir Fanny, ma chienne Border Collie. Lorsqu'enfin, je trouvais sa cage, elle était à l'extérieur. J'ouvrais donc la porte dans le grillage, le collier en chaînette et la laisse de cuir attachée à la chaînette entre mes doigts fins. J'appelais doucement la chienne et, intriguée, elle rentra pas le petit expace à battante, comme une mini porte !
La chienne m'observa un instant, interloquée. Puis, elle s'approcha, posa une patte sur mon genou en passant la langue. Je la caressais en riant. A force de la caresser, elle se coucha et me présenta son ventre. Je lui grattais délicatemnt le ventre et elle couina de bonheur. Je la grattais aussi derrière les oreilles, et elle adora. J'avais décidé d'aller jouer avec elle à la plage, car il faisait beau et chaud. Mais pour éviter que mademoiselle se retrouve épuisée et sale en arrivant, un petit voyage en voiture s'imposait. Je réglais le collier à chaînettes, puis sortit de la cage, Fanny entre mes jambes. Encore un peu, et je trébuchais. Je la repoussais doucement et lui disant fermement :
- Pas dans mes jambes !
Elle resta sagement près de moi, bien qu'elle rêva d'une caresse. J'ouvrais le coffre de ma voiture, et Fanny grimpa sans problème dans sa loge de voyage. Je vérifiais qu'elle avait de l'eau et luid onnait quelques croquettes puor s'ocupper.
Arrivée à la plage, je sortis la chienne du coffre, et verrouillais ma voiture. je commencais à marcher un peu avec elle, à l'ombre, puis, non sans un frisson d'hésitation, je détchais la laisse et sortit la balle de tennis. Je lui montrais en hauteur, et Fanny fit un bond gigantesque. Je lancais la balle à proximité, Fanny s'élanca à une vitesse folle, et en quelques secondes, elle était dessus ! Elle revint vers moi en trombe et me donna gentiment la balle. je la caressis en riant et lancait la balle, plus fort cette fois. Seulement, je ratais un peu mon lancé et la balle atterit dan l'eau. Qu'importe, Fanny entra dan l'eau en jappant de joie, et revint vers moi, la balle entre les crocs, trempée mais heureuse. Notre jeu se prolongea un quart d'heure, et j'inventais un nouveau jeu. A chaque vague, je sautais en l'air, comme pour l'éviter, et la chienne m'imita rapidement. Je m'amusais comme une petite fille et elle comme un chiot. C'était merveilleux ! Finalement, je rattachais la laisse de cuir, la fit rentrer dans la cage du coffre après une caresses et rentrais à DC.
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